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Update !
Saison 1 a été traduit en allemand sous le titre de Season 1 par Sonja Finck et Frank Weigand.
Un extrait de la pièce a été lu au Berliner Ensemble par une actrice de l’Ensemble à l’occasion de la publication. (Scène 21 Ed. Institut Français, 2019)
Suzanne Emond a choisi de monter le texte, il sera présenté au Theater unterm Dach à Berlin en décembre 2020.
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La série télévisée s’est imposée avec force comme un genre narratif dont la variété de codes, les repères de formes ont élargi le champ d’expérience(s) du spectateur. Florence Minder s’intéresse au phénomène d’envergure sociale d’une expérience collective à travers le rapport individuel que l’humain entretient avec la fiction. La perception du réel s’en voit modifiée et, de son regard pertinent, sagace, l’artiste transpose au plateau ce qu’elle révèle de ce glissement progressif. Une héroïne, plongée dans une épopée amazonienne au-delà de toutes attentes, traverse trois épisodes.
SAISON 1 – série théâtrale – interroge notre sentiment de la réalité, notre compréhension de l’emprise de la fiction dans le traitement permanent de nos vies bousculées par la machine capitaliste, où l’omniprésence de l’image et de son rythme effréné semble répondre à un besoin transgénérationnel (obsessionnel ou pas) d’écouter et de raconter des histoires.
La série télévisée s’est imposée avec force comme un genre narratif dont la variété de codes, les repères de formes ont élargi le champ d’expérience(s) du spectateur. Florence Minder s’intéresse au phénomène d’envergure sociale d’une expérience collective à travers le rapport individuel que l’humain entretient avec la fiction. La perception du réel s’en voit modifiée et, de son regard pertinent, sagace, l’artiste transpose au plateau ce qu’elle révèle de ce glissement progressif. Une héroïne, plongée dans une épopée amazonienne au-delà de toutes attentes, traverse trois épisodes.
SAISON 1 – série théâtrale – interroge notre sentiment de la réalité, notre compréhension de l’emprise de la fiction dans le traitement permanent de nos vies bousculées par la machine capitaliste, où l’omniprésence de l’image et de son rythme effréné semble répondre à un besoin transgénérationnel (obsessionnel ou pas) d’écouter et de raconter des histoires. La série télévisée s’est imposée avec force comme un genre narratif dont la variété de codes, les repères de formes ont élargi le champ d’expérience(s) du spectateur. Florence Minder s’intéresse au phénomène d’envergure sociale d’une expérience collective à travers le rapport individuel que l’humain entretient avec la fiction. La perception du réel s’en voit modifiée et, de son regard pertinent, sagace, l’artiste transpose au plateau ce qu’elle révèle de ce glissement progressif. Une héroïne, plongée dans une épopée amazonienne au-delà de toutes attentes, traverse trois épisodes. La série télévisée s’est imposée avec force comme un genre narratif dont la variété de codes, les repères de formes ont élargi le champ d’expérience(s) du spectateur. Florence Minder s’intéresse au phénomène d’envergure sociale d’une expérience collective à travers le rapport individuel que l’humain entretient avec la fiction. La perception du réel s’en voit modifiée et, de son regard pertinent, sagace, l’artiste transpose au plateau ce qu’elle révèle de ce glissement progressif. Une héroïne, plongée dans une épopée amazonienne au-delà de toutes attentes, traverse trois épisodes. La série télévisée s’est imposée avec force comme un genre narratif dont la variété de codes, les repères de formes ont élargi le champ d’expérience(s) du spectateur. Florence Minder s’intéresse au phénomène d’envergure sociale d’une expérience collective à travers le rapport individuel que l’humain entretient avec la fiction. La perception du réel s’en voit modifiée et, de son regard pertinent, sagace, l’artiste transpose au plateau ce qu’elle révèle de ce glissement progressif. Une héroïne, plongée dans une épopée amazonienne au-delà de toutes attentes, traverse trois épisodes. La série télévisée s’est imposée avec force comme un genre narratif dont la variété de codes, les repères de formes ont élargi le champ d’expérience(s) du spectateur. Florence Minder s’intéresse au phénomène d’envergure sociale d’une expérience collective à travers le rapport individuel que l’humain entretient avec la fiction. La perception du réel s’en voit modifiée et, de son regard pertinent, sagace, l’artiste transpose au plateau ce qu’elle révèle de ce glissement progressif. Une héroïne, plongée dans une épopée amazonienne au-delà de toutes attentes, traverse trois épisodes. La série télévisée s’est imposée avec force comme un genre narratif dont la variété de codes, les repères de formes ont élargi le champ d’expérience(s) du spectateur. Florence Minder s’intéresse au phénomène d’envergure sociale d’une expérience collective à travers le rapport individuel que l’humain entretient avec la fiction. La perception du réel s’en voit modifiée et, de son regard pertinent, sagace, l’artiste transpose au plateau ce qu’elle révèle de ce glissement progressif. Une héroïne, plongée dans une épopée amazonienne au-delà de toutes attentes, traverse trois épisodes. La série télévisée s’est imposée avec force comme un genre narratif dont la variété de codes, les repères de formes ont élargi le champ d’expérience(s) du spectateur. Florence Minder s’intéresse au phénomène d’envergure sociale d’une expérience collective à travers le rapport individuel que l’humain entretient avec la fiction. La perception du réel s’en voit modifiée et, de son regard pertinent, sagace, l’artiste transpose au plateau ce qu’elle révèle de ce glissement progressif. Une héroïne, plongée dans une épopée amazonienne au-delà de toutes attentes, traverse trois épisodes.